Flash Back (Cinecitta, Rome)
Je ne regrette rien (via Appia Antica, Rome)
Youth Hotel (Agrigente, Sicile)

Flash Back (Cinecitta, Rome)
2014
photographie argentique
200 x 300 centimètres
pièce unique

La série Je ne regrette rien est né de la résidence de Théo Mercier dans la tour d’ivoire de la villa Médicis. Il s’échappe de l’ennui et des murs d’enceintes du bâtiment pour investir les ruines de la Via Antica à Rome et y installer clandestinement de grandes banderoles affichant les titres de chanson populaires sur la jeunesse et les amours perdues, qui claquent comme les slogans d’une manifestation improbable contre la marche du temps et de l’Histoire. Théo Mercier a réédité cette performance en d’autres lieux et sur d’autres ruines, comme autant d’allersretours entre l’archéologie de ce qui n’a pas existé et la nostalgie des mondes perdus. De ce projet performatif et photographique est né son premier spectacle, Du Futur faisons table rase.

Je ne regrette rien (via Appia Antica, Rome)
2014
photographie argentique
300 x 200 centimètres
pièce unique

La série Je ne regrette rien est né de la résidence de Théo Mercier dans la tour d’ivoire de la villa Médicis. Il s’échappe de l’ennui et des murs d’enceintes du bâtiment pour investir les ruines de la Via Antica à Rome et y installer clandestinement de grandes banderoles affichant les titres de chanson populaires sur la jeunesse et les amours perdues, qui claquent comme les slogans d’une manifestation improbable contre la marche du temps et de l’Histoire. Théo Mercier a réédité cette performance en d’autres lieux et sur d’autres ruines, comme autant d’allersretours entre l’archéologie de ce qui n’a pas existé et la nostalgie des mondes perdus. De ce projet performatif et photographique est né son premier spectacle, Du Futur faisons table rase.

Youth Hotel (Agrigente, Sicile)
2014
photographie argentique
300 x 200 centimètres
pièce unique

La série Je ne regrette rien est né de la résidence de Théo Mercier dans la tour d’ivoire de la villa Médicis. Il s’échappe de l’ennui et des murs d’enceintes du bâtiment pour investir les ruines de la Via Antica à Rome et y installer clandestinement de grandes banderoles affichant les titres de chanson populaires sur la jeunesse et les amours perdues, qui claquent comme les slogans d’une manifestation improbable contre la marche du temps et de l’Histoire. Théo Mercier a réédité cette performance en d’autres lieux et sur d’autres ruines, comme autant d’allersretours entre l’archéologie de ce qui n’a pas existé et la nostalgie des mondes perdus. De ce projet performatif et photographique est né son premier spectacle, Du Futur faisons table rase.