La Plante pieuvre
Le Masque magique
Les Masques (de profil)
Les Masques (noir)

La Plante pieuvre
2015
acrylique sur toile
219 x 149 centimètres
pièce unique

Ces toiles s'inscrivent dans la continuité de la série Les Amazones, qui jouent avec l'idée d'une figure héroïque féminine en cassant les stéréotypes du genre. Ici, les figures solitaires sont des héroïnes masquées, baignées dans une lumière lunaire et aride. Prisonnière de leur costume d'héroïne, elles oscillent entre liberté et contrainte, pouvoir et soumission. Le regard, élément central dans les représentations de Claire TABOURET, est souligné par les masques et révèle l'ambiguïté des personnages. Claire TABOURET représente les héros au féminin, qui ont toujours été sous-représentés, en transposant la figure héroïque masculine à une figure féminine tout aussi héroïque. Solitaires, elles évoluent dans un paysage, aussi physique que mental, qui représente un nouveau territoire à conquérir. Telle une Isabelle Eberhardt contemporaine (une aventurière à l'esprit insoumis qui s'habillait comme un homme afin de voyager librement), qui est l'une des principales sources d'inspiration de l'artiste, Claire TABOURET investit courageusement un "genre", la peinture figurative, qui a longtemps été laissée de côté et se concentre sur la figure du héros au féminin.

On retrouve dons ce tableau ce personnage énigmatique de femme masquée, ici entièrement revêtue d'une combinaison argentée. Entre Fantômette, la justicière masquée de la Bibliothèque rose. et une héroïne sexy de comics, cette figure nous apparaît recroquevillée sur elle-même, dans une position fœtale, mois également prête à bondir. La plante qui l'abrite et la menace tout à la fois est un cactus cierge géant qui pousse en Californie. L'artiste en a fait une plante molle et tentaculaire, telle une pieuvre. Cette toile est caractéristique de la lumière nocturne que créée Claire Tabouret, comme si cette dernière provenait de l'intérieur du tableau. Pour cela, l'artiste commence à peindre avec des couleurs très vives, voire fluo, comme ici avec de l'orange. Puis, par couches successives, elle obscurcit petit à petit la couleur sans l'éteindre, la couleur vibrante du dessous baignant d'un halo spectral I'ensemble de la composition.

Le Masque magique
2015
acrylique et paillettes sur toile
30.5 x 22.5 centimètres
pièce unique

Ces toiles s'inscrivent dans la continuité de la série Les Amazones, qui jouent avec l'idée d'une figure héroïque féminine en cassant les stéréotypes du genre. Ici, les figures solitaires sont des héroïnes masquées, baignées dans une lumière lunaire et aride. Prisonnière de leur costume d'héroïne, elles oscillent entre liberté et contrainte, pouvoir et soumission. Le regard, élément central dans les représentations de Claire TABOURET, est souligné par les masques et révèle l'ambiguïté des personnages. Claire TABOURET représente les héros au féminin, qui ont toujours été sous-représentés, en transposant la figure héroïque masculine à une figure féminine tout aussi héroïque. Solitaires, elles évoluent dans un paysage, aussi physique que mental, qui représente un nouveau territoire à conquérir. Telle une Isabelle Eberhardt contemporaine (une aventurière à l'esprit insoumis qui s'habillait comme un homme afin de voyager librement), qui est l'une des principales sources d'inspiration de l'artiste, Claire TABOURET investit courageusement un "genre", la peinture figurative, qui a longtemps été laissée de côté et se concentre sur la figure du héros au féminin.

Les Masques (de profil)
2015
acrylique sur toile
55 x 46 centimètres
pièce unique

Ces toiles s'inscrivent dans la continuité de la série Les Amazones, qui jouent avec l'idée d'une figure héroïque féminine en cassant les stéréotypes du genre. Ici, les figures solitaires sont des héroïnes masquées, baignées dans une lumière lunaire et aride. Prisonnière de leur costume d'héroïne, elles oscillent entre liberté et contrainte, pouvoir et soumission. Le regard, élément central dans les représentations de Claire TABOURET, est souligné par les masques et révèle l'ambiguïté des personnages. Claire TABOURET représente les héros au féminin, qui ont toujours été sous-représentés, en transposant la figure héroïque masculine à une figure féminine tout aussi héroïque. Solitaires, elles évoluent dans un paysage, aussi physique que mental, qui représente un nouveau territoire à conquérir. Telle une Isabelle Eberhardt contemporaine (une aventurière à l'esprit insoumis qui s'habillait comme un homme afin de voyager librement), qui est l'une des principales sources d'inspiration de l'artiste, Claire TABOURET investit courageusement un "genre", la peinture figurative, qui a longtemps été laissée de côté et se concentre sur la figure du héros au féminin.

Les Masques (noir)
2015
acrylique sur toile
55 x 46 centimètres
pièce unique

Ces toiles s'inscrivent dans la continuité de la série Les Amazones, qui jouent avec l'idée d'une figure héroïque féminine en cassant les stéréotypes du genre. Ici, les figures solitaires sont des héroïnes masquées, baignées dans une lumière lunaire et aride. Prisonnière de leur costume d'héroïne, elles oscillent entre liberté et contrainte, pouvoir et soumission. Le regard, élément central dans les représentations de Claire TABOURET, est souligné par les masques et révèle l'ambiguïté des personnages. Claire TABOURET représente les héros au féminin, qui ont toujours été sous-représentés, en transposant la figure héroïque masculine à une figure féminine tout aussi héroïque. Solitaires, elles évoluent dans un paysage, aussi physique que mental, qui représente un nouveau territoire à conquérir. Telle une Isabelle Eberhardt contemporaine (une aventurière à l'esprit insoumis qui s'habillait comme un homme afin de voyager librement), qui est l'une des principales sources d'inspiration de l'artiste, Claire TABOURET investit courageusement un "genre", la peinture figurative, qui a longtemps été laissée de côté et se concentre sur la figure du héros au féminin.