Ayan Farah
Alvar
2013
alcool, vinaigre, teinture, peinture acrylique sur soie de coton
180 x 130 centimètres
pièce unique
Les grands tissus tendus sur châssis d'Ayan FARAH résultent de longs processus de transformation et de décantation, dont ils gardent les traces dans leur matière même. Enfouis sous terre, exposés au soleil, au vent et à la pluie, leurs couleurs se sont fanées ou révélées. Ces tissus prélevés dans l'environnement quotidien de l'artiste (issus de la literie ou de l'habillement) jouent de leur légère transparence qui révèle le châssis qui les soutient. Par leurs subtils dégradés de noirs et blancs, rehaussés parfois à l'acrylique ou à d'autres techniques de coloration moins traditionnelles (vinaigre, cendre, sel de mer...), ils ressemblent à ces pierres que l'on expose en Chine pour leurs marbrures et qui, parfois, prennent la forme d'un paysage.
Ayan Farah
Ivona - Riska (Coal)
2013
cendres, alcool, vinaigre, teinture, sel de mer, trous de mite sur soie de coton
170 x 120 centimètres
pièce unique
Les grands tissus tendus sur châssis d'Ayan FARAH résultent de longs processus de transformation et de décantation, dont ils gardent les traces dans leur matière même. Enfouis sous terre, exposés au soleil, au vent et à la pluie, leurs couleurs se sont fanées ou révélées. Ces tissus prélevés dans l'environnement quotidien de l'artiste (issus de la literie ou de l'habillement) jouent de leur légère transparence qui révèle le châssis qui les soutient. Par leurs subtils dégradés de noirs et blancs, rehaussés parfois à l'acrylique ou à d'autres techniques de coloration moins traditionnelles (vinaigre, cendre, sel de mer...), ils ressemblent à ces pierres que l'on expose en Chine pour leurs marbrures et qui, parfois, prennent la forme d'un paysage.
Ayan Farah
Neve
2013
alcool, vinaigre, teinture, peinture acrylique sur soie de coton
180 x 130 centimètres
pièce unique
Les grands tissus tendus sur châssis d'Ayan FARAH résultent de longs processus de transformation et de décantation, dont ils gardent les traces dans leur matière même. Enfouis sous terre, exposés au soleil, au vent et à la pluie, leurs couleurs se sont fanées ou révélées. Ces tissus prélevés dans l'environnement quotidien de l'artiste (issus de la literie ou de l'habillement) jouent de leur légère transparence qui révèle le châssis qui les soutient. Par leurs subtils dégradés de noirs et blancs, rehaussés parfois à l'acrylique ou à d'autres techniques de coloration moins traditionnelles (vinaigre, cendre, sel de mer...), ils ressemblent à ces pierres que l'on expose en Chine pour leurs marbrures et qui, parfois, prennent la forme d'un paysage.